mercredi 21 mars 2012

Fixations pour muralière

Faut bien s'y mettre un jour... car le bois va bientôt arriver. Le mur de la cuisine était constellé de trous divers et variés, témoins des travaux successifs qu'il avait du subir, parfois de manière un peu aléatoire.

Alors j'ai rebouché en partie, tout en insérant tout les 70cm des corbeaux en métal. Mais non, pas des oiseaux ! Des plaquettes de métal perforées pour supporter la muralière que je visserai dessus.


Gros plan sur le système de fixation.
Ce sera le même travail plus haut pour fixer une muralière-faîtage, support des chevrons. J'ai opté pour ce système plutôt que par ancrage dans la maçonnerie, car de ce fait, je n'ai pas de délai d'attente pour séchage lors de la mise en place de la charpente.

jeudi 15 mars 2012

V'la le printemps !

C'est sûr c'est le printemps, car au jardin, l'hôtel à insecte ressemble à une ruche bourdonnante. C'est un peu dur de prendre ce nuage d'abeilles en photo, mais voici quand même un petit extrait.

lundi 12 mars 2012

Une porte dans le pignon

Suite des travaux sur le pignon...

... Mélanie déchaînée oublie qu'elle se trouve sur un échafaudage qui swingue ! Réalisation : tréteaux de maçon + 3 chevrons posés en travers + palettes vissées sur les chevrons.
Attaque du mur de 30cm de large, en brique et galets... surtout galets d'ailleurs ;-)

Et au bout d'un deux petites heures... le mur ne fait plus le malin.


Et en bas : un gros tas de galets, dont certains sont franchement énormes !

dimanche 11 mars 2012

Un peu d'organisation !

Ranger les vis, pointes, boulons, rondelles, spit, écrou à oreilles de toutes sortes... j'ai pas mal cherché quoi utiliser. Et bien j'ai trouvé !

Astuce trouvée sur internet, pas cher et solide, les boîtes d'Ikéa modèle GLIS. Le désavantage c'est qu'il y a 3 couleurs, ce qui fait que vous êtes obligé de faire avec un patchwork.


Mais l'avantage, c'est aussi qu'il y a 3 couleurs et que donc vous pouvez utiliser les couleurs pour vous repérer... Par exemple, les boîtes bleues c'est pour la visserie, les boîtes vertes c'est pour les pointes et les boîtes blanches c'est pour les boulons, tire-fonds, rondelles... bref, tout le reste. Ensuite j'ai fait des étiquettes à remplir en fonction du diamètre, de la longueur, de l'embout... et comme ça, je sais exactement ce que j'ai, où et avec quoi je dois m'en servir.

Un autre avantage, c'est le couvercle, comme ça hop j'embarque la boîte d'un tour de main, elles s'empilent et en plus le contenu ne prend pas la poussière !

lundi 5 mars 2012

Démolition pignon

À l'attaque du pignon !
On ne s'arrête plus... Comme les troupes du lundi soir sont de retour, les travaux peuvent reprendre du poil de la bête. Et, en prévision de la pose de la charpente de la cuisine, il faut abattre le haut du mur pignon qui fait la séparation avec l'atelier.

C'est donc Julie qui s'y colle. Un peu le vertige en haut de son échelle, mais c'est juste pour le début. Après, il y aura le super échafaudage pour la suite du mur (pour l'instant, il nous manque une 50aine de centimètre au bout des bras !!).

Fin de la soirée (débutée tardivement). Toute la partie en brique est sortie et le chevron dégagé. Il reste les rangées de galets pour une prochaine session.
Installation de l'échafaudage.


Vue de l'intérieur de l'atelier. Sur ce grand mur, ça fait tout riquiqui :-)

dimanche 4 mars 2012

Après le gel

Après le gel, j'ai du gratter les joints qui avaient explosé en cours de séchage. J'ai donc du boulot en perspective, au-dessus du linteau. Mais bon, avec les nuits fraîches (froides ?) de ces prochains jours, ça devra attendre encore un peu. La chaux n'aime pas le froid :-)

samedi 3 mars 2012

Tréteaux de charpentier

Un peu de soleil, c'est l'occas' de finir les tréteaux. Il m'en restait un à monter, et les deux à assembler définitivement avec des boulons.
Vue d'ensemble, non boulonnés. Ils sont super stables. Ça va être parfait.

Version pied à dévers et pied d'équerre. C'est sur le pied d'équerre que je veux monter une vis d'établi et m'en servir comme étau portatif. Il me reste à trouver une vis d'établi pas trop chère...

Le deuxième tréteau, boulonné. Deux pieds à dévers. Belles proportions, stabilité à toute épreuve, le classicisme qui tue !

Gros plan sur la tête de boulon. Pour fignoler le tout, j'ai percé à la mèche plate de 28 (diamètre de la rondelle) dans le piétement, de manière à ce que le serrage soit bien d'aplomb.

Idem de l'autre côté, mais avec un écrou papillon pour un démontage sans outil.


Et une dernière prise de vue de côté, pour l'allure générale.

C'est peu dire que je suis ravie, non seulement de les avoir terminés, mais surtout de pouvoir bientôt les étrenner pour la découpe du solivage et de la charpente de la cuisine.