samedi 30 août 2014

zinguerie

10 m de gouttière de chaque côté... ça en fait du zinc !


Et comme je sais faire les soudures seulement à plat, ben je me tape tout au sol et ensuite faudra tout monter d'un bloc !!! Je sais, c'est un peu fou, mais j'ai pas trouvé d'autre astuce.

mercredi 20 août 2014

Fini... pour l'instant !


Les tuiles sont en paquets sur le toit, bien rangées.


Encore quelques finitions, avec un bandeau de zinc pour assurer l'écoulement de l'eau pour le pare-pluie.


Et on démonte l'échafaudage et le monte-charge que je dois rendre. La suite, plus tard, pour tuiler le toit et mettre les gouttières, une échelle suffira pour monter.

lundi 18 août 2014

Toiture côté jardin


Les dernières plaques sont là, on les pose sans plus tarder.


Un peu de zinguerie pour étancher l'angle rentrant du mur du voisin... et oui, leur maison n'a pas son propre mur, car celle-ci est construit sur le mien (devenu depuis mitoyen par la force des choses). Donc pour éviter que ma toiture envoie toute l'eau dans le mur, il faut dévier tout ça. Sans compter qu'il faut reprendre l'angle du mur (ici caché) car il est pourri.


Mur réparé, zinc posé, joint sika fait, liteaux posés, tuiles de rive ok.


Ça avance, ça avance... les deux pans de toit sont prêts pour la tuile. Dernier gros coup demain, après pause méritée.

dimanche 17 août 2014

Bâtisse !

Pas de plaques à poser... on se rabat sur la maçonnerie des rives. C'est qu'il faut en faire des bétonnières pour faire une rive ! Et tant qu'à faire d'avoir de la main d'œuvre et un monte-charge à dispo...

samedi 16 août 2014

Encore des velux

On ne s'arrête plus... on attaque l'autre côté du toit. Et on pose les velux..


En voilà 4 qui illumineront le bureau.


Vue traversante d'un côté et de l'autre sur les ouvertures du toit.



Et pose des plaques pare-pluie à l'avancée. Sauf que... manque de pot, je me suis gourée dans la commande et qu'il me manque juste 5 plaques ! Et c'est le pont du 15 août... rien d'ouvert... c'est la cata, faut trouver autre chose à faire pour le lendemain.

jeudi 14 août 2014

On continue par les liteaux

Et hop un pan de toiture qui ne craint plus la pluie.


Comme on a assuré le coup en collant les panneaux entre eux (car selon la doc technique, la pente est insuffisante), le joint a fait un petit bourrelet. Et donc, il faut les araser pour évacuer encore mieux l'eau). C'est long à faire au cutter, donc pour l'autre côté du toit on fera différemment, en lissant le joint au fur et à mesure.


En suivant, pose des liteaux dans le sens de la pente puisque les tuiles n'ont pas de talons. Ça remplace les cassons de tuile pour tenir les tuiles de courant. Pour ça le cloueur à gaz est quasi incontournable et d'un efficacité redoutable.




Enfin, on commence à apporter la tuile en dé-tuilant l'autre pan de toit. On fait des paquets, répartis sur le toit en fonction du nombre de tuiles nécessaires par rangées. Ici, 3 paquets de 6 tuiles car 18 tuiles sont nécessaires pour couvrir une rangée.

mercredi 13 août 2014

Pare pluie

Vue que le toit est gauche et que la plus faible pente est vraiment limite pour des tuiles canal, on assure le coup avec un super pare-pluie. C'est de la fibre de bois, liée à chaud avec du latex. Isolair, épaisseur 22 mm, produit de chez Pavatex.


Franchement c'est du bonheur à poser. La découpe se fait facilement à la scie égoïne, ou au cutter si vous avez un trop plein d'énergie ;-)
Pose des premières plaques. On part de biais pour rester perpendiculaire au fil d'eau. À droite, pose de zinc sur la corniche avant la pose des gouttières.


Ce coup-ci, vu la douche prise la veille au soir, on a assuré le coup avec des bâches lourdes, et on travaille petit à petit en remontant la bâche...


Ça avance. Les plaques font le tour des velux pour être au plus près pour l'étanchéité provisoire.

vendredi 8 août 2014

On ouvre le toit


Et voilà sans tuile, après un orage qui a inondé toute la maison, c'est propre !
(Et on est allé chercher les lourdes bâches de camion, car les autres ne tiennent pas la route...)


Ouverture !


Chevêtres, et préparation des velux.


Pose. C'est pas les seuls, il y en aura d'autres.

Échafaudage et détuilage

Fini le travail à l'intérieur... on passe l'échafaudage à l'extérieur.


Montage.


Hop détuilage.


Stockage... On commence à être un peu encombrées par la tuile. La plupart c'est du stockage en vue de la restauration d'autres toitures.


Vive le monte-charge... en l’occurrence le descendeur de tuile.


Vue d'ensemble. L'échelle à gauche, l'échafaudage au milieu. le monte-charge à droite. Et la poulie tout en haut.


Retour à l'intérieur pour prendre quelques photos. C'est beau avec les tuiles sorties du toit. Ça laisse passer le soleil au travers de la volige, comme un rideau de lumière.


Vue depuis la cage d'escalier.




Douce lumière autour de l'arc rampant.

mercredi 6 août 2014

Boulonnage

Maintenant que l'arbalétrier est en place, la charpente redressée, on peut boulonner le tout. Pour que ce soit joli, les boulons seront encastrés dans le bois.
Après avoir fait le tour de la ville pour trouver une mèche plate de 35mm (vive le mois d'août...), le perçage commence.


Outil pourri, la mèche se casse. Heureusement, j'arrive à la récupérer tant bien que mal à la disqueuse. Ça fera l'affaire juste le temps de percer pour ce chantier ensuite, poubelle !


C'est fixé ! Ah, ah, c'est tentant de tout couper...


Ben voilà c'est fait. L'ancienne charpente est par terre, et le nouvel arbalétrier tient l'ensemble bien en place.

mardi 5 août 2014

Modification de charpente !

Ça y'est, on se lance ! Opération modif de charpente...
Il faut virer l'entrait qui gêne le passage du couloir à l'étage, et donc, il faut renforcer l'arbalétrier qui n'est pas suffisant pour porter seul toute la charge. Le but du jeu est donc de le doubler par un arbalétrier en lamellé collé qui à lui seul reprendra toute la charge.
Dimension de la bête : 12 x 44 cm
Longueur : 6, 50 m


Une fois rentré dans la maison (je vous passe le moment sport... merci aux roulettes et aux passants...) il faut tailler la bestiole.


Ensuite, il faut faire les réservations nécessaires dans le mur de refend (appui haut).


Et aussi en pied, dans le mur de façade.


Ensuite, c'est le moment tant attendu et redouté... sangle, palan... et c'est parti !


P. se démène tant qu'elle peut au palan. Plus haut... non plus bas... en fait non, plus haut...


Et voilà l'arbalétrier qui se dresse. Repos sur l'échafaudage pour repenser l'attache des sangles. On n'a qu'un palan, donc il faut faire par petits coups. Lever, avancer l'arbalétrier, reposer, sangler plus bas... recommencer.


Tenir en pied. Doucement. Avancer.


Ça y'est il est là haut !


Bon, on fait quoi maintenant ? On s'y prend comment ?


Va-t-il y aller ?


Hop dans la réservation haute. Faut maintenant passer le bas. Et c'est pas une mince affaire car la charpente a travaillé et a pris une sacré flèche... 6 cm ! Il faut ruser et s'organiser pour lever la charpente.


Et voilà. Le pied est passé en descendant un peu la tête. Maintenant il faut la forcer à remonter avec les étais, et les serre-joints. Un tour de vis ici, on tour de vis là. Ça monte petit à petit et ça redresse la charpente.


C'est en place. On prend la pause.