jeudi 14 août 2014

On continue par les liteaux

Et hop un pan de toiture qui ne craint plus la pluie.


Comme on a assuré le coup en collant les panneaux entre eux (car selon la doc technique, la pente est insuffisante), le joint a fait un petit bourrelet. Et donc, il faut les araser pour évacuer encore mieux l'eau). C'est long à faire au cutter, donc pour l'autre côté du toit on fera différemment, en lissant le joint au fur et à mesure.


En suivant, pose des liteaux dans le sens de la pente puisque les tuiles n'ont pas de talons. Ça remplace les cassons de tuile pour tenir les tuiles de courant. Pour ça le cloueur à gaz est quasi incontournable et d'un efficacité redoutable.




Enfin, on commence à apporter la tuile en dé-tuilant l'autre pan de toit. On fait des paquets, répartis sur le toit en fonction du nombre de tuiles nécessaires par rangées. Ici, 3 paquets de 6 tuiles car 18 tuiles sont nécessaires pour couvrir une rangée.

mercredi 13 août 2014

Pare pluie

Vue que le toit est gauche et que la plus faible pente est vraiment limite pour des tuiles canal, on assure le coup avec un super pare-pluie. C'est de la fibre de bois, liée à chaud avec du latex. Isolair, épaisseur 22 mm, produit de chez Pavatex.


Franchement c'est du bonheur à poser. La découpe se fait facilement à la scie égoïne, ou au cutter si vous avez un trop plein d'énergie ;-)
Pose des premières plaques. On part de biais pour rester perpendiculaire au fil d'eau. À droite, pose de zinc sur la corniche avant la pose des gouttières.


Ce coup-ci, vu la douche prise la veille au soir, on a assuré le coup avec des bâches lourdes, et on travaille petit à petit en remontant la bâche...


Ça avance. Les plaques font le tour des velux pour être au plus près pour l'étanchéité provisoire.

vendredi 8 août 2014

On ouvre le toit


Et voilà sans tuile, après un orage qui a inondé toute la maison, c'est propre !
(Et on est allé chercher les lourdes bâches de camion, car les autres ne tiennent pas la route...)


Ouverture !


Chevêtres, et préparation des velux.


Pose. C'est pas les seuls, il y en aura d'autres.

Échafaudage et détuilage

Fini le travail à l'intérieur... on passe l'échafaudage à l'extérieur.


Montage.


Hop détuilage.


Stockage... On commence à être un peu encombrées par la tuile. La plupart c'est du stockage en vue de la restauration d'autres toitures.


Vive le monte-charge... en l’occurrence le descendeur de tuile.


Vue d'ensemble. L'échelle à gauche, l'échafaudage au milieu. le monte-charge à droite. Et la poulie tout en haut.


Retour à l'intérieur pour prendre quelques photos. C'est beau avec les tuiles sorties du toit. Ça laisse passer le soleil au travers de la volige, comme un rideau de lumière.


Vue depuis la cage d'escalier.




Douce lumière autour de l'arc rampant.

mercredi 6 août 2014

Boulonnage

Maintenant que l'arbalétrier est en place, la charpente redressée, on peut boulonner le tout. Pour que ce soit joli, les boulons seront encastrés dans le bois.
Après avoir fait le tour de la ville pour trouver une mèche plate de 35mm (vive le mois d'août...), le perçage commence.


Outil pourri, la mèche se casse. Heureusement, j'arrive à la récupérer tant bien que mal à la disqueuse. Ça fera l'affaire juste le temps de percer pour ce chantier ensuite, poubelle !


C'est fixé ! Ah, ah, c'est tentant de tout couper...


Ben voilà c'est fait. L'ancienne charpente est par terre, et le nouvel arbalétrier tient l'ensemble bien en place.